La permission de minuit – de Delphine Gleize
Déjà il s’agit de signaler qu’il ne faut pas aller au cinéma le ventre vide. Car lorsque ton estomac crie famine, tu trouves le temps long, et tu as l’impression que le réalisateur aurait dû l’arreter beaucoup plus tôt son film, pour que tu puisses courir te restaurer sous peine de mourir d’inanition. Il s’agit également de signaler que plus Vincent Lindon vieillit, plus il ressemble à mon ex beau-père. Le film ? J’y viens. Lire la suite
